Arme d’immortalisation massive

Com­ment, il est pas bien, mon titre ?

Comme annon­cé pré­cé­dem­ment, j’ai récu­pé­ré les pho­tos de mézigue avec un Olym­pus E‑3 et un Zui­ko 90–250 f/2,8 dans les pattes. Mon col­lègue ayant été pré­ci­sé­ment en train de jouer avec un E‑420 et un fish-eye 8 mm, ça fait un effet inté­res­sant : le plus gros appa­reil et le plus gros objec­tif (QUI a dit “le plus gros pho­to­graphe” ?) pho­to­gra­phiés par le plus petit boî­tier et le plus grand angle de la gamme…

Renaud l’a sobre­ment bap­ti­sée “Ram­bo arrhhhhhhh”.

“On va tous les pho­to­gra­phier, m’sieur.”

Comme je disais dans ma cau­se­rie d’hier, l’en­semble est un poil lourd. Fran­che­ment, caler le coude sur le genou, ça aide bien à sta­bi­li­ser. Même si “Il est léger et com­pact pour une grande faci­li­té d’u­ti­li­sa­tion et un faible encom­bre­ment” (doc Olympus). 

Faites pas gaffe au bruit, c’est un E‑420 qui a pris la pho­to à une sen­si­bi­li­té inavouable.

Main­te­nant, j’es­saie de trou­ver un lec­teur de cartes CF pour voir si les pho­tos que j’ai prises avec ce monstre “léger et com­pact” sont lisibles.