Week-end !

Pour ceux qui se deman­de­raient pour­quoi y’a pas eu, contrai­re­ment à d’ha­bi­tude, un seul billet mer­cre­di, la rai­son est simple : j’ai bos­sé mercredi.

Et jeu­di aussi.

Et ça va deve­nir une habitude.

Objec­tifs : gagner du temps pour faire des trucs (j’ai par exemple pu consa­crer mon mer­cre­di à l’é­di­tion et la rédac­tion d’un article pour Focus qui traî­nait depuis bien trop long­temps), me syn­chro­ni­ser avec les gens de mon entou­rage, ne plus râler contre ceux qui me sou­hai­taient un bon week-end le ven­dre­di soir.

Contre­par­tie logique : ce soir com­mence mon pre­mier vrai week-end (ie : je suis ni au chô­mage ni en vacances) depuis… 2006, quand j’ai com­men­cé à prendre mon poste le dimanche pour accueillir les internes.

Contre­par­tie moins logique : j’ai un truc immonde que Lorie pré­ten­dait chan­ter il y a quelques années dans la tête. Si je la croise, je la bute.

Bon week-end à tous.

Sauf bien sûr aux jour­na­listes, chauf­feurs de bus, tra­mi­nots, machi­nistes, pilotes, contrô­leurs aériens, pro­jec­tion­nistes, récep­tion­nistes, ser­veurs, tech­ni­ciens, dea­lers, agents de la force publique, concierges, secou­ristes, méde­cins, pom­piers, pros­ti­tuées, atta­chés de presse en voyage de presse, bref, à tous les tra­vailleurs du dimanche que j’ai hon­teu­se­ment pla­qués pour reprendre le rythme consi­dé­ré comme natu­rel par leurs lec­teurs, clients, patients et autres, mais que je n’ou­blie­rai pas pour autant.