L’agence

de George Nolfi, 2011, ***

La recette est simple : un peu d’ac­tion, un peu de romance, un peu de mys­tère, un peu d’es­pion­nage, un peu de pseu­do-méta­phy­sique. Prenez un acteur que cer­tains vont voir sans même regar­der de quoi parle le film (je plaide cou­pable), des seconds rôles que tout le monde a vu ici ou là, ser­vez chaud.

Le résul­tat, sans sur­prise (à part peut-être la vague odeur de chris­tia­nisme qui traîne dans un coin, mais pas assez forte pour être incom­mo­dante), n’est pas désa­gréable, mais ne laisse pas non plus de sou­ve­nir immortel.