Mois : juillet 2012

Je crois que ça m’é­tait jamais arrivé : je viens de me faire une sai­son com­plète d’une série, d’af­filée, sans me lever de mon siège à part pour aller

Enten­du à l’in­stant sur France 2, à pro­pos d’un bijouti­er qui a abat­tu un homme dans sa boutique : On lui reproche de s’être défendu. On lui reproche pas

de Enri­co Casarosa, 2012, **** Je vois peu de courts-métrages, et j’en cri­tique encore moins. Mais La Luna, c’est la vraie bonne rai­son d’aller voir Rebelle, dont il fait

de Mark Andrews et Bren­da Chap­man, 2012, *** Rebelle, c’est l’his­toire d’une princesse écos­saise au des­tin tout tracé qui rejette l’au­torité de ses par­ents et les pro­to­coles de la cour,

Putain de Dieu, j’en peux plus. C’est quoi, cette mode à la con qui inonde les milieux bobos-chics-créa, depuis quelques mois, de dire “use­less” à tout bout de champ ? Non

de Luc Besson, 1988 révisé¹, **** Ça fai­sait très, très longtemps que j’avais pas revu Le grand bleu. La dernière fois, je devais avoir quinze ans et c’é­tait à

Hier soir, j’ai eu le bon­heur de ren­tr­er chez moi en Vélib’, comme très régulière­ment depuis que j’ai arrêté mon abon­nement de métro. Et j’ai eu la joie,

de Pierre Jolivet, 2011, **** Le polar français est un truc intéres­sant, pro­téi­forme, qui ne cesse de se réin­ven­ter. Alors que cer­tains sont cen­trés sur l’en­quête, que d’autres bâclent

de Steven Soder­bergh, 2011, * Mon­sieur Soder­bergh, savez-vous pourquoi la plu­part des thrillers sont ryth­més ? C’est sim­ple : c’est parce que c’est plus facile de faire un film au scé­nario

Après un an et demi d’u­til­i­sa­tion, mon vénéré Desire Z va pren­dre une semaine de vacances. En effet, j’ai actuelle­ment l’oc­ca­sion de tester un télé­phone plus mod­erne… Dépourvu