End of watch

de David Ayer, 2012, ****

Un polar d’ac­tion qui joue la carte de l’im­mer­sion, avec un maxi­mum de plans inté­grés au scé­na­rio — camé­ras de sur­veillance, camé­ras-cra­vate des héros, …

Très bien joué, très ryth­mé, un peu glauque, sai­gnant quand il faut, bru­tal sou­vent, élé­gant et même dis­tin­gué par­fois, c’est glo­ba­le­ment très réus­si et les ama­teurs du genre devraient se régaler.