Star trek into darkness

de J.J. Abrams, 2013, **

Comme le pre­mier, ça tourne plu­tôt bien, c’est ryth­mé, tout ça tout ça.

Mais contrai­re­ment au pre­mier, l’hu­mour est fort dis­cret et le scé­na­rio est sim­pliste, sur le sché­ma clas­sique héros vs Némésis. Et mal­gré toute la sym­pa­thie que je peux avoir pour Benedict Cumberbatch, chaque révé­la­tion concer­nant son per­son­nage est sur-annon­cée et arrive comme une évi­dence absolue.

Du coup, c’est pas vrai­ment désa­gréable, mais lourd et cou­su de fil blanc. Et quand je dis « fil », je pense aux câbles de remor­quage du Bourbon.