Under the skin

ona­nisme céré­bral de Jonathan Glazer, 2013

C’est bien beau de vou­loir fil­mer en condi­tions réelles, lais­ser pla­ner le mys­tère, soi­gner l’es­thé­tique, tout ça, mais quand on a rien à racon­ter sinon sa propre vacui­té et sa propre pré­ten­tion, ben ça reste épou­van­ta­ble­ment nul.

En prime, le mes­sage genre « damoi­selles, ne cro­quez pas les hommes ou ça va vous péter à la gueule », c’est un peu trop réac à mon goût. (Heureusement, si vous n’a­vez pas ma patience, vous serez sor­ti de la salle avant d’en arri­ver à cette partie.)