Bon, je suis sérieusement à la bourre pour ce billet hebdomadaire, qui aurait normalement dû apparaître samedi. Faut dire que comme prévu, la semaine a été plutôt agitée.
Oups, un peu de retard dans cette chronique hebdomadaire. Faut dire que le départ approche, j’ai d’autres choses à penser. Donc, après avoir fini les cinq premières saisons
de Daniel Leconte, 2008, *** Un type qui lit Charlie hebdo depuis le numéro 1 (de l’ère moderne, hein, je savais pas encore lire quand Choron a piqué sa crise
de Clive Lewis, 1950–1956, *** Le premier jour, au début du XXè siècle, Digory et Polly utilisent les anneaux trouvés chez leur oncle magicien — une grande personnes
de Bill Lawrence, depuis 2001, **** Attention, première critique d’une série télé. Ça a valu une réorganisation des rubriques, “Cinéma” devenant “Cinéma et télé” et les noms des sous-rubriques
Le chef d’État du Vatican, devant 250 000 personnes venues spécialement pour lui et seulement lui, met en garde contre l’idolâtrie. Je sais pas vous, mais moi, je
Après un week-end sans histoire, c’était très intéressant lundi. Renaud et moi nous sommes téléportés jusqu’à la Seine Saint-Denis pour prendre en mains, la veille de sa naissance
de Patrice Leconte, 2005, * Premier tiers : parodie de Les bronzés, de Partice Leconte (1978, ***), lui-même parodie du Club Méditerranée, de Gilbert Trigano, sorte de parodie de vacances. Deuxième
de Dave Filoni, 2008,* Entre L’attaque des clones et La revanche des Siths, il s’est passé des choses. La future défunte république est en guerre contre Dooku, tout