S’il existait un prix de crétinerie pour les journalistes, il ne fait guère de doute que Guillaume Champeau, mon confrère de Numérama, pourrait y prétendre. Il vient en
de Jon Favreau, 2011, **** La bande-annonce est claire : bordel, c’est quoi ce truc ? Des gusses en stetson, Frontier à la ceinture et Winchester à la main, et des
Aujourd’hui, je fais ma visite hebdomadaire chez mes confrères de Clubic, dont je ne lis en fait souvent qu’une seule publication : les dessins de Flock (désolé les gars,
de Pedro Almodóvar, 2011, ** Y’a plein de bonnes idées — le traitement qu’un scientifique qui a justement besoin d’un cobaye peut réserver à un violeur, la relation entre une
de Seth Gordon, 2011, *** Qu’en dire ? C’est exactement ce qu’on peut en attendre : des numéros d’acteurs impayables (Spacey en sadique brutal, j’adore, Farrell en cynique cocaïnomane, ça passe toujours,
“Tiens, c’est vrai”, me dis-je ce matin en mon for intérieur, “est-ce que Panda a eu des effets sur la fréquentation de ce blog ?” Petit tour sur Analytics. Alors
de Rupert Wyatt, 2011, **** La planète des singes est un cas particulier. C’est un des premiers “filons” qu’une maison de production ait exploité avec avidité jusqu’à son tarissement
Ça ressemble un camp de réfugiés au Darfour, mais les bouquins sont parfaitement rangés. Pas de doute : je suis chez moi. C’était la pensée du jour. Bienvenue à la
Comment proposer une interface claire, sympathique à l’œil et utile ? C’est un casse-tête permanent, sur lequel tout le monde n’est pas d’accord (sinon ça serait trop simple). Certains
C’est marrant, comme une publication sur Facebook peut dériver en réflexion philosophique. Cet après-midi, une copine d’un copain, maniaque de photo (et plutôt très bonne dans sa spécialité,