Ça fait plusieurs fois que je la vois, et curieusement je ne m’en lasse pas trop. Pour une fois, une pub n’est pas odieuse et insupportable… Cette présentation
de Ben Affleck, 2010, **** J’ai pas l’habitude d’être tendre avec Ben Affleck, qui a longtemps figuré en très bonne place sur ma liste noire des acteurs à fuir
de Paul Anderson, 2010, *** Anderson n’est pas forcément le plus original des réalisateurs. En revanche, c’est un bon faiseur : avec des grosses ficelles bien classiques, il est capable de
chefs-d’œuvre de Jean Van Hamme et Grzegorz RosiÅ„ski, 1986–88 Si vous ne connaissez pas Thorgal, c’est un tort. Le Lombard ayant eu l’excellente idée de ressortir l’intégralité de
de Floria Sigismondi, 2009, **** Honte à moi. Dans mes explorations du rock’n’roll sauce 70’s, j’avais totalement raté les Runaways, groupe féminin formé en 75 et explosé en 78. Faut dire
œuvre magistrale (je maintiens !) de James Cameron, 2010 Alors voilà, neuf mois plus tard, James ressort Avatar. Avec huit minutes de plus au total, quelques scènes virées aussi,
Dans un alphabet bicaméral, la casse des caractères a une importance. Par exemple, quand je vois un titre qui commence et finit avec des capitales, je m’attends à
Revue de presse : S’agit-il d’une sortie censée repousser le possible abandon dont nous parlions ou plutôt une stratégie dilatoire en attendant la sortie de nouveautés technologiques […] ? (Absolut-photo)
de Josh Gordon et Will Speck, 2010, *** Énième variation sur la comédie romantique new-yorkaise, vous savez, celle des célibataires trentenaires qui s’aiment mais préfèrent chercher des aventures ailleurs