de Paolo Sorrentino, 2015, ****/* Ça ne m’arrive pas souvent de mettre deux notes à la fois. La raison est simple : Youth¹ n’est pas dans cet entre-deux inconfortable d’un film
d’Eoghan O’Donnell, 2015, * Une scientifique instable, une mère de famille, un flic infiltré, un gosse asocial, un télé-évangéliste cocu… Leur premier point commun : être morts lorsqu’un astéroïde a frappé
de Josh Trank, 2015, * Dans l’univers Marvel, il y a une grande tradition : les films inspirés des Quatre fantastiques sont nuls. Enfin, pas forcément nuls au point de
de Chris Colombus, 2015, * J’ai souvenir, je ne sais ni où ni quand, d’avoir lu un article de presse parlant de la “revanche des nerds”, ce phénomène par lequel,
de Neil Blomkamp, 2015, * Neil a un problème. Son premier film, pensé comme une série B de science-fiction formant une métaphore de l’apartheid, a été un succès inattendu
de Sam Taylor-Johnson, 2015, * Prenez n’importe quel roman à l’eau de rose genre Cendrillon moderne. Pour donner l’impression à la lectrice de Barbara Cartland de voir un truc osé,
de Ridley Scott, 2014, * Les dix commandements du cinéphile : Tu adoreras d’autres dieux que Ridley Scott, car à voir tous ses films tu seras puni jusqu’au troisième et
de Wes Ball, 2014, * Prenez un scénario simpliste genre Hunger games chez les amnésiques ou Predators version teen-movie (et qui fait pas mal penser à Coma, la BD de Dupré).
nanar à une étoile d’Olivier Baroux, 2013 Vous le savez, les navets, c’est ma grande passion. Sans doute pour compenser le fait que j’ai jamais pu en avaler
de Sylvester Stallone, 1985, * À la base, c’est un copier-coller vaguement modifié de Rocky III : un adversaire techniquement supérieur qui lance un défi, quelques scènes comiques plus ou moins