de Michel Gondry, 2013, ** Alors voilà : avec un film, il y a une sélection, un montage, et le résultat est plus la parole du réalisateur que celui des
de John Boorman, 1972, ** Il y a quelques semaines, ce vieux classique que j’avais jamais vu passait au ciné près de chez moi, du coup j’ai mis fin à
de Kelly Reichardt, 2013, ** On ne sait pas trop quel est le sujet : l’approche des défis environnementaux, l’opposition entre opérations coup de poing médiatiques et construction écologique locale,
de Luc Besson, 1983, ** Si on vous dit “film français moderne en noir et blanc et muet”, vous allez forcément citer The artist. C’est oublier qu’avant d’être vieux,
de Neil Burger, 2014, ** Ça se passe dans quelques décennies, après la guerre. La civilisation a été reconstruite en assignant à chacun une “faction”, correspondant à une place dans
de Anthony et Joe Russo, 2014, ** Il faudrait peut-être penser à ré-injecter une dose d’originalité dans les dernières productions Marvel : ça leur éviterait de donner l’impression de n’être qu’une
de Shinjo Aramaki, 2013, ** Sur le plan de la réalisation, rien à redire : c’est impeccable, tant côté rythme que côté graphique. Sur le plan du scénario, en revanche, ça
de Stanley Kubrick, 1980, ** Avec un peu de retard, j’ai enfin vu Shining, qui manquait à ma culture kubrickienne (restent encore les trucs des années 50 et Barry
d’Abdellatif Kechiche, 2013, ** En sortant de la salle, franchement, j’étais sous le charme. Une belle histoire, bien racontée, avec plein de moments très vrais de toutes les histoires
de Robert Rodriguez, 2013, ** Allons à l’essentiel : Machete kills n’est pas vraiment une suite de Machete ; c’est plutôt une parodie. Le soucis, c’est que Machete était lui-même largement