d’Andrew Nicol, 1997, * C’est un film froid, lisse. Ce qui aurait pu être une qualité, mais non ; ça ne sert même pas une ambiance particulière. La narration est
de Neil Jordan, 1996, * On est un peu étonné, devant ce film. Tout d’abord, on a l’impression que Michael Collins est l’homme qui, à lui seul, a obtenu l’indépendance
de Ridley Scott, 1992, * Ridley Scott, Gérard Depardieu, Sigourney Weaver… Excusez du peu ! Et tout ça pour ça ? On nous annonce un film historique. Mais non. Pour quiconque s’intéresse