Dans ma croisade personnelle contre les expressions superfétatoirement redondantes et non dénuées de répétitions, je demande : le “de dont”. Souvenez-vous. C’était il y a longtemps, aux temps où le
Je crois qu’une de mes consœurs de France 2 vient de battre un record d’inculture crétine. Ça parle de climat, et de la théorie selon laquelle le réchauffement
Soit j’avais sauté la ligne en remplissant mon profil, soit elle a été ajoutée depuis, mais voilà : je viens de découvrir (merci Ghusse) que Facebook permet d’afficher les
Chers confrères, concitoyens et congénères francophones, par pitié, cessez. Cessez de dire (ou pire, d’écrire) : “elle n’est pas prète de faire ceci”. Vraiment, cessez. À chaque fois, ça m’écorche
J’aime bien les anglicismes. C’est pratique, ça permet de créer une novlangue sans que les gens s’en aperçoivent et on peut les utiliser à tort et à travers,
Dans un alphabet bicaméral, la casse des caractères a une importance. Par exemple, quand je vois un titre qui commence et finit avec des capitales, je m’attends à
Tout le monde en parle : notre secrétaire d’État chargé entre autres de la francophonie vient de publier les résultats d’un concours baptisé “Francomot”, incitant le peuple à proposer
Bon, j’espère que mon estimé confrère webmaistre de l’excellent declencheur.com¹ ne lira pas ceci, vu qu’à chaque fois qu’on aborde le sujet on finit fâchés jusqu’à la bière
“L’anglais, on le retrouve partout et à force, on va tuer le français !” Que celui qui n’a jamais entendu ce lieu commun lève la main. Cependant, une remarque frappée