Catégorie : troll

de Philippe Haim, 2003, O Je ne pen­sais pas qu’il fût pos­si­ble de faire pire que High­lander II. J’é­tais bien naïf.

de Jim Jar­musch, 2009, O Faire une film résol­u­ment sans queue ni tête, c’est pas à la portée de tout le monde. Mais là, ça y est : Jim Jar­musch

de Richard Kel­ly, 2009, O Je pense qu’on devrait inter­dire aux Chré­tiens Raëliens ado­ra­teurs de jel­ly de faire des films. Au moins quand ils sont défoncés.

d’Adam Eliott, 2009, O Dis­cus­sion entre Adam et Melanie, dans un pub de Mel­bourne, vers 3 h du matin : — Tu sais quoi ? Je con­nais un type, com­plète­ment à la

de j’ai la flemme de chercher, année incon­nue, O Pour ceux qui se demandaient pourquoi per­son­ne n’avait jamais mis une bande-son funky sur un film de guerre, voilà la

daubasse des frères Lar­rieu, 2009 Imag­inez un road-movie pié­ton, où il ne se passe rien, et dont le prin­ci­pal intérêt est de voir Math­ieu Amal­ric, Ser­gi López et Omahyra

daube infâme de Stephen Sommers Théorique­ment, G.I. Joe est cen­sé être un film d’ac­tion au scé­nario pour­rave et prévis­i­ble, avec des effets spé­ci­aux plus soignés que la pro­fondeur

de Tony Scott, 2009, O Y’a des fois, on va voir un film presque par hasard parce que “tiens, pourquoi pas un polar ?”. On entre dans la salle, le

de Michael Bay, 2009, O Les nanards, vous le savez, c’est ma grande pas­sion. Alors tous les ans, je vois un film de Michael Bay. Et avec Trans­form­ers 2,

de Mar­tin Scors­ese, 1967, O Heureuse­ment pour Mar­tin, j’é­tais pas pro­duc­teur hol­ly­woo­d­i­en dans les années 70. Jamais j’au­rais don­né un kopeck à un type qui avait pon­du une daube