somnifère de Tomas Alfredson, 2011 Bien joué, mais mou, inintéressant et sans surprise. La longueur de cette critique est inversement proportionnel à celle du film.
de Bruce Robinson, 2011, * Passé une première demi-heure sympa mais bordélique, le film s’appliquera à vous dégoûter du rhum, des femmes, des promoteurs immobiliers, des Caraïbes et du journalisme.
de Tarsem Singh, 2011, * Soyons gentil : ne mettons pas tout à fait une bulle. Parce que bon, quand même, c’est très, très drôle par moments. Et le plus
d’Andrew Niccol, 2011, * Vous connaissez la question traditionnelle : “que feriez-vous s’il ne vous restait qu’une journée à vivre ?” Et bien, c’est l’idée du film. Les pauvres ont une journée, une
de Justin Chadwick, 2008, * Bon, le sujet est casse-gueule. Pas facile de faire un film sur la deuxième épouse et l’une des maîtresses d’Henry VIII d’Angleterre, les sœurs Anne
de Lars von Trier, 2011, * Y’a pas d’âge pour apprendre. Par exemple, hier encore, je considérais Kirsten Dunst comme une actrice correcte, capable de passer inaperçue dans des grosses
de Jean-Luc Godard, 1963, * C’est dingue, le pouvoir d’une photo. J’ai vu récemment une image qui m’a fait penser à ce film, au point que j’ai été le
de Mia Hansen-Løve, 2011, * C’est très amusant : il y a, aux environs de 1h20 après le début du film, une réplique qui tue. C’est Sullivan qui parle d’un
De Michael Bay, 2011, * Quand un film crétin est suivi d’une bouse sans nom, l’être humain normal se dit qu’il est temps d’abandonner. Mais je ne suis pas normal ;
de Maurice Barthélémy, 2010, * Quelque part entre Les bronzés prennent l’avion et Y a‑t-il un pilote dans le script ?, voici Low cost. Comme beaucoup de parodies, en particulier
